samedi, mars 04, 2006

La fin des interdits

Lorsque vous voulez perdre quelques kilos, est-ce que vous délaissez vos plats favoris ? Si oui, au bout de quelques jours, vous sentez-vous privés ?

Regardez-vous ceux autour de vous prenant du plaisir à manger les aliments "interdits" ? Si je vous dis que vous n'aurez plus jamais droit à du chocolat, combien de temps cela prendra au chocolat pour devenir le seul aliment que vous voulez manger ?

Interdire et se priver nous rend, non seulement malheureux, mais désireux d'avoir ce que l'on ne peut avoir. Nous commençons à nous priver de certains aliments parce que nous pensons qu'ils sont mauvais pour nous. C'est à ce moment que nous désirons cet aliment que nous nous sommes interdit mais pas seulement un morceau, nous en voulons beaucoup.

Prenons pour exemple le chocolat : nous le bannissons parce qu'il contient beaucoup de calories. Dans un moment de faiblesse, vous vous jetterez sur la tablette de peur de ne plus jamais pouvoir en manger à nouveau.

Après avoir franchi la limite de vos interdictions, vous vous sentez coupable et vous repartez de plus belle vers les restrictions-privations : plus de chocolat pour vous !

Ainsi, à chaque fois que vous verrez du chocolat, vous entendrez une petite voix vous dire que c'est là un " mauvais " aliment ! Vous en aurez envie et vous vous sentirez encore coupable !

Cet exemple de régime-privation peut être inconscient mais il peut devenir un cercle vicieux que vous répéterez à l'infini. Une fois que vous l'avez identifié, vous pouvez l'arrêter !

Imaginez un monde sans " mauvais " ou " bons " aliments dans lequel il est possible de manger de tous les aliments en quantité raisonnable et vous n'aurez plus à en abandonner certains.

Lorsque vous vous débarasserez de toute culpabilité et de la conception " bons/mauvais " aliments, alors vous vous sentirez libres. Libres de manger et de prendre du plaisir à manger de tout. Adieu culpabilité ! Bienvenue la forme !
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source http://123maigrir.com/

2 commentaires:

Christine a dit...

Merci.

coloa a dit...

Pas de quoi, je l'ai publié en pensant à toi.